Le secteur de la presse a été très actif et créatif à l’avènement de la publicité digitale à la fin des années 90 et au début des années 2 000. Par la suite, le secteur a semblé vouloir se chercher, se réinventer pour continuer à séduire le marché publicitaire plus enclin à adhérer à des offres émanant des acteurs comme Google ou Facebook ou d’autres orientés sur la performance marketing. Le programmatique a-t-il permis à la presse de retrouver des couleurs en termes de revenus ou au contraire le programmatique est un accélérateur de perte de valeur pour le secteur ?